mercredi 21 novembre 2007

Notre but :


Que les hommes aient droit à l'avortement, et que, tout comme les femmes, ils puissent être maîtres de leurs Paternités.


Les premières victimes d'une paternité forcée sont les enfants.

Nous voulons faire reconnaître dans notre société le Préjudice d'une Paternité Imposée. Une Paternité Imposée est une vie volée.

Nous voulons que les hommes aient droit à des dispositions légales équivalentes au droit à l'avortement.

Il faut interdire aux femmes l'instrumentalisation des enfants pour arriver à leurs fins, obtenir de l'argent, des allocations, une vengeance, pour retenir un homme..., et par le biais de leurs enfants, avoir des droits sur ses biens.

Les femmes se sont vraiment battues pour  obtenir le droit à l'avortement, le droit à choisir le moment de mettre un enfant au monde. Pas les hommes.

Il faut faire changer la loi et les mentalités afin que les hommes puissent eux aussi être maîtres de leurs Paternités et choisir le moment où ils voudront des enfants, ou pas.

Nous reconnaissons aux femmes le droit de faire des "bébés toutes seules", mais nous proposons de légiférer pour qu'elles n'aient pas le droit de se retourner contre le "père malgré-lui" en l'assignant pour des reconnaissances de paternités et des allocations contributives.

En dernier recours, les femmes ont le droit d'accoucher sous X. Pourquoi n'étendrions nous pas ce droit aux hommes dans un but d'égalité. Le problème des Paternités Imposées serait alors miraculeusement solutionné : il suffirait, comme les femmes ont le droit de le faire, de déclarer la naissance de l'enfant sous X au niveau de sa Paternité. Les femmes, ainsi, ne pourraient plus instrumentaliser leur grossesse, et nous sommes certain que le nombre de Paternités Imposées diminueraient fortement.

Nous épargnerions à ces enfants le drame de toute une vie que représente pour eux une Paternité Imposée.

Nous n'avons pas droit à l'avortement aujourd'hui. C'est un droit que les femmes ont obtenu en 1975 : la loi VEIL pour l'avortement. Nous sommes pour cette loi et voulons nous aussi pouvoir profiter de ce droit.

Aujourd'hui, la loi VEIL est une loi ségrégationniste : c'est une loi pour les femmes et pas pour les hommes. Tout comme en Afrique du Sud et aux États Unis il y avait des lois pour les blancs et des lois pour les noirs (ou plutôt contre les noirs).

N'est-il pas Anticonstitutionnel d'octroyer un droit à une partie de la population et pas à l'autre ?
Ce scandale n'est jamais dénoncé, nous allons nous employer à rétablir cette injustice et que les hommes, comme les femmes, puissent êtres maîtres de leurs Paternités.

Je veux rappeler ici que l'argument de la responsabilité au moment de la conception de l'enfant était l'argument massue des anti avortement de l'époque qui disaient qu'ils avaient mieux que l'avortement : la responsabilité ou l'abstinence.  

Nous démarrons cette association pour rechercher toutes les bonnes volontés et aussi des avocats, des juristes et des magistrats qui se rallieraient à notre combat en nous apportant leurs compétences et leurs expériences.

A terme, notre ambition est de pouvoir prendre en charge avec les futurs avocats de l'Association, la défense de nos Adhérents.

Nous devons être nombreux pour faire changer les mentalités. Affiliez vos proches et tous ceux qui vous soutiennent, ce combat va être difficile.
Nous ne pourrons faire changer les mentalités que si nous sommes très nombreux.

Si on vous a "fait un enfant dans le dos" REJOIGNEZ-NOUS !




REJOIGNEZ-NOUS

Association loi 1901 "Pères : les Malgré-Nous"

Tel : 06.20.83.38.56

Adresse de messagerie : paternitesimposees@hotmail.fr 
Blog :                              http://pereslesmalgrenous.blogspot.com/



 Déclaration de Paternité sous X

Je suis tellement révolté par cette privation de liberté que sont les Paternités Imposées que j'ai créé cette association et ce blog qui s'appellent "Pères : les Malgré-nous".

Le but est d'aboutir à des propositions de lois pour que les hommes puissent enfin choisir quand, comment et avec qui ils créeront une famille .

Je pense qu'il n'est pas normal que les hommes n'aient pas droit à l'avortement ou à des dispositions légales équivalentes. La Déclaration de Paternité sous X pourrait être une réponse législative simple au problème des Paternités Imposées.

C'est un droit qui appartient aux femmes, il suffirait de l'élargir à la population masculine.

Il suffirait que le géniteur soit prévenu par courrier recommandé avec A. R.,acte d'huissier ou assignation comme c'est le cas aujourd'hui, dans le délais légal de l'avortement. En dernier recours, après concertation, le Père Malgré Lui pourrait déclarer sa Paternité sous X avant la naissance, au même titre que les femmes ont droit à la procédure d'Accouchement sous X.

Cela anéantirait de fait les motivations des femmes qui instrumentalisent leurs grossesses et diminuerait fortement le nombre d'enfants malheureux non désirés par le géniteur.

Les motivations des femmes qui instrumentalisent leurs grossesses sont connues : - Retenir un homme - argent - pensions - captation de biens - reconnaissance sociale - victimisation... .

Nous voulons souligner la part d'irresponsabilité des femmes qui imposent une paternité à un homme : elles détruisent la vie des enfants quelles mettent au monde, celle des Pères Malgré-Eux, et certainement, au bout du compte, la leur.


Pour un statut du géniteur sous x
"Au moment où un homme prend connaissance d'une grossesse dont il ne souhaite pas assumer les conséquences, il devrait pouvoir faire appel à une procédure analogue à celle de l'accouchement sous x. Cette procédure le protègerait d'un recours aussi bien de la femme que de l'enfant. Il deviendrait ainsi "géniteur sous x" laissant à la femme, la responsabilité de mettre au monde l'enfant dont elle aurait pu effectivement avorter"

  

                                  Marcela Iacub, juriste et chercheuse au CNRS
                                  Extrait d'un point de vue publié dans "Libération"
                                  le 25 janvier 2005




Légiférer


Nous préparons des Projets de lois qui protégeraient les hommes des Paternités Imposées.

Le but est que les hommes accèdent aux mêmes droits que les femmes.

Nous respectons le fait que des femmes puissent "faire des bébés toutes seules" et il ne saurait être question d'imposer un acte chirurgical à qui que ce soit. Nous proposons qu'elles assument les responsabilités de leur choix.

Nous travaillons sur l'idée qu'une femme enceinte devrait prévenir officiellement le supposé géniteur dans le délai légal de l'Interruption Volontaire de Grossesse, par un courrier recommandé avec Accusé de Réception et/ou un acte d'huissier.

L'absence de cette démarche annulerait toute possibilité d'assignations en justice pour des reconnaissances en paternité et des contributions alimentaires.

Complémentairement, nous travaillons aussi sur l'idée d'étendre aux hommes le droit à la Déclaration de Maternité sous X, que nous appellerions la Déclaration de Paternité sous X ce qui permettrait au "Père malgré-lui" de ne pas endosser une paternité qu'il ne désire pas.

Les femmes, en connaissance de causes, seraient enfin contraintes à tenir les promesses qu'elles font aux hommes en leur faisant croire qu'elles ne leur demanderaient rien.

Techniquement, déposer des Projets de Lois et les faire adopter, ne sont qu'une formalité.

Mais cela ne pourra se faire que quand les mentalités auront changées, parce qu'aujourd'hui, ne sont sensibilisés à ce problème que ceux qui y sont confrontés.





Ce que dit la loi


Depuis l'entrée en vigueur de la réforme de la filiation, en juillet 2006, une mère peut engager une recherche en paternité pour son enfant dans les dix ans qui suivent sa naissance. 

L'enfant majeur peut engager cette action seul dans les dix ans qui suivent sa majorité. Dans les deux cas, il faut qu'il existe des présomptions sérieuses de cette paternité. 

Le juge peut alors ordonner que le père présumé se soumette à un test ADN. Si sa paternité est reconnue, le père doit en assumer les conséquences, c'est-à-dire participer à l'entretien et à l'éducation de l'enfant en payant une pension alimentaire, et en faire son héritier au même titre que ses autres enfants. S'il le souhaite, il peut aussi bénéficier des droits paternels: celui de voir l'enfant, d'avoir l'autorité parentale, et même demander à ce qu'il vive chez lui.



Notre avis

La loi laisse peu de latitude. Ce qui est difficile à admettre pour le "père malgré-lui", c'est que la loi ne reconnaît pas le préjudice qu'il subit.

Il veut dénoncer le piège dans lequel il est tombé, mais la justice n'a pas les outils législatifs pour traiter ce problème.

La confusion et l'incompréhension s'installent car le rôle de la justice, aujourd'hui, se borne à désigner qui va contribuer à l'éducation de cet enfant, et privilégie les parents biologiques. Ou plus concrètement, le père biologique, puisque la mère biologique à le droit de déclarer cette naissance sous x, et pas le père !

Nous luttons pour rétablir ce déséquilibre.




Pourquoi "les Malgré-Nous"



Les "Malgré-nous" étaient ces jeunes alsaciens qui ont étés enrôlés de force dans l'armée allemande en 1940. Pour certains, leur calvaire ne s'est pas terminé le 8 mai 1945, mais a continué de nombreuses années. Ceux qui ont été prisonniers des soviétiques, ont subi les camps de concentration sibériens et n'ont étés libérés que bien plus tard.
Les "Pères Malgré-eux" sont enrôlés de force dans des Paternités Imposées, non désirées. Ce sont des condamnations à vie.





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Presse - Liens - Blogs


A lire absolument :
"Paternités imposées. Un sujet tabou" de Mary Plard, édition  Les liens qui libèrent, 20 euros.



A lire dans MARIE CLAIRE :




Un blog intéressant sur les Paternités Imposées à visiter absolument :





Journal Officiel


Association loi 1901 déclarée au Journal Officiel n°49 du 8 décembre 2007
Déclaration n° 1041
Date de la déclaration : 26 novembre 2007